Les surprises de l’atelier

Les surprises de l’atelier

Un atelier de gravure c’est entre-autre des bouteilles, des boîtes, des pots, des flacons, des tubes, des bidons… Et parfois aussi de drôles de surprises, comme celles découvertes par Nicolas Mayné à KASBA!

On laisse tout d’abord votre imagination s’enflammer un peu 😀

Et voici ce qui se passe quand on prend un peu de distance 😉


Articles similaires

  • Lipit présente son « éloge de la folie »
    Lipit vous présente son « éloge de la folie », une série de quatre lithographies richement textualisées.
  • Jean-Pierre Lipit invite Estelle Lacombe
    | EXPO DU 10 AU 19 MARS 2023 | La gravure ne connais pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu temporairement domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
  • Quelques nouvelles gravures d’Élisabeth
    Souvent un brin déjantées, mais toujours résolument pop, voici quelques dernières gravures d’Élisabeth Bro
  • Exposition « un souffle, une lame »
    L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
  • Les deux facettes de Jean Coulon
    Buriniste le jour, musicien la nuit, voici les deux facettes de Jean Coulon. Dualité qui se réunissaient parfois dans ses gravures…
  • « UNE HISTOIRE ENTRE JEAN ET MOI »
    « Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…

Polissage

Polissage

En amont d’une gravure, il existe toute une série d’étapes préparatoires. Le polissage de la plaque (de cuivre en l’occurrence) fait partie de ces étapes.

Dans cet article Chris Delville nous fait découvrir sa technique pour polir les plaques qui accueilleront ses futures pointes sèches.

La principale fonction du polissage des plaques est de préparer les blancs de la future gravure. Avec une plaque bien polie on obtiendra en effet un fond bien blanc. Si la plaque est mal ou peu polie, le fond aura un voile gris (ou de couleur si on imprime en couleur) plus ou moins léger. Si on souhaite un fond blanc, la gravure sera alors plus difficile à imprimer.

Première étape, effriter la brique de pâte à polir brune (pour un grain plus gros) et la dissoudre dans un peu de withe spririt.

Ensuite? Avec un chiffon frotter, frotter et frotter, de manière circulaire, puis linéaire.

Après, réitérer l’exercice avec la pâte à polir blanche (pour un fini plus fin)

Après une quarantaine de minutes d’efforts, la plaque est enfin prêtre (on doit pouvoir s’y admirer comme dans un miroir) 😉

Article réalisé par Élisabeth Bronitz et Nicolas Mayné


Articles similaires

  • Lipit présente son « éloge de la folie »
    Lipit vous présente son « éloge de la folie », une série de quatre lithographies richement textualisées.
  • Jean-Pierre Lipit invite Estelle Lacombe
    | EXPO DU 10 AU 19 MARS 2023 | La gravure ne connais pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu temporairement domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
  • Quelques nouvelles gravures d’Élisabeth
    Souvent un brin déjantées, mais toujours résolument pop, voici quelques dernières gravures d’Élisabeth Bro
  • Exposition « un souffle, une lame »
    L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
  • Les deux facettes de Jean Coulon
    Buriniste le jour, musicien la nuit, voici les deux facettes de Jean Coulon. Dualité qui se réunissaient parfois dans ses gravures…
  • « UNE HISTOIRE ENTRE JEAN ET MOI »
    « Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…