Les pérégrinations lithographiques de Nicolas l’ont mené à tenter la quadrichromie (impression en quatre couleurs)… Et pour ce faire, quoi de mieux comme sujet que son jardin!
L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
« Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…
À KASBA Gilles s’est mis à imprimer une carte bancaire un peu particulière. Par contre n’essayez pas de retirer de l’argent avec, car cette carte est faite pour célébrer un anniversaire!
La gravure ne connaît pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu un temporaire domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
Cette exposition « Jean-Pierre Lipit invite Estelle Lacombe » est le fruit de cette complicité qui anime ces deux êtres si différents (tant sur le plan personnel qu’artistique) mais qui trouvent pourtant, dans leurs différences, une belle complémentarité. Les opposés s’attirent, se fondent et s’harmonisent, voici le spectacle auquel nous sommes souvent confrontés, mais qui jamais ne risque de nous lasser.
Jean-Pierre Lipit invite Estelle Lacombe
Du 10 au 19 mars 2023 Vernissage le jeudi 9 mars de 18h à 21h Exposition ouverte: Les vendredis, samedis et dimanches de 14h à 18h ou sur rendez-vous : 0472 97 36 43
Atelier KASBA, rue Middelbourg 126, 1170 Watermael-Boitsfort
Mes estampes évoquent une enfance passée à grimper dans les arbres mais aussi notre place dans ce monde en mutation, interrogent ses transformations, les relations qui s’y nouent et s’y dénouent. Elles racontent la mémoire des êtres et des lieux, cherchent à sublimer la part féminine du monde et à lire ce dernier sous un nouveau prisme, où la femme serait à une juste place.
Faites d’os et de boues saumâtres, de crocs et de papes obscènes, de gaz moutarde et de corneilles hilares, les gravures de Lipit nous donnent à voir, avec ironie, sarcasme, et parfois aussi un peu de tendresse, la Comédie Humaine dans toute sa splendide futilité.
Comme chaque année, l’atelier KASBA vous propose son Kasbarché de Noël, Des gravures et Lithographies originales pour tous les budgets, le tout dans une ambiance conviviale
L’Atelier KASBA est heureux de vous proposer l’exposition « Mare Tranquilitatis » reprenant les dernières gravure d’Élisabeth Bronitz. Mais ne vous fiez peut-être pas trop à ce titre trompeusement serein, car en mer tout le monde sait ce que le calme annonce…
| EXPO DU 10 AU 19 MARS 2023 | La gravure ne connais pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu temporairement domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
Comme chaque année, l’atelier KASBA vous propose son Kasbarché de Noël, Des gravures et Lithographies originales pour tous les budgets, le tout dans une ambiance conviviale
Après des mois d’âpres cogitations et de dur labeur, les membres de l’atelier KASBA ont le plaisir de vous faire découvrir leur dernière édition TerritOire, lors d’une exposition à l’atelier du 12 au 20 novembre.
Fortement inspirée par sa gravure réalisée pour la dernière édition KASBA Machine à rêver, hommage à Jean Coulon, Élisabeth nous a concocté,dans le prolongement du thème, ces quelques nouvelles gravures:
(Et sa gravure pour l’édition KASBA qui a lancé le thème):
Un thème en appelant un autre, notre graveuse Pop qui ne manque pas de pep’s a glissé des Machines à rêver aux Télés atomiques:
Et maintenant?
Insatiable et avide de nouveaux horizons, Élisabeth s’est lancé corps et âme dans un nouveau projet radicalement différent, et surtout, d’envergure… affaire à suivre!
| EXPO DU 10 AU 19 MARS 2023 | La gravure ne connais pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu temporairement domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
« Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…
L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
Cette édition est tirée à 10 exemplaires et composée de textes de Gilles Hébette et de gravures de Chris Delville.
Elle est à découvrir (avec une sélection d’œuvres des deux artistes):
Le week-end des 4 et 5 juin
de 14h à 18h
à l’atelier Kasba
rue de Middelbourg 126, 1170 Watermael-Boitsfort
L’atelier Kasba ?
Un repère de brigands qui coupent la tête à tout ce qui passe ,les idées fausses, les vérités toutes faites, le prêt à l’emploi, qui apprécie le café fin et les panoplies de chocolat – Noir –
Ça ressemble à une salle de torture mais l’odeur ne trompe pas, imprégnée dans le sol, les murs et les plafonds c’est celle de l’encre et l’esprit blanc.
Ici, couverts de tabliers dépareillés, on aiguise les pointes sèches, on lime, on paume, on racle. Les mains sont à l’œuvre, à la recherche d’une séculaire et fragile image, qui comblerait le vide du « dit ».
Aujourd’hui, je considère l’atelier KASBA comme l’atelier où je retrouve l’odeur de l’encre, le tablier, et les gouges pour reprendre le travail là où je l’avais arrêté.
Un endroit où l’on discute gravures, éditions, pourcentage de cacao dans le chocolat et sens du monde ; un îlot encore en marge du temps, un lieu de résistance où chacun a cette possibilité de cultiver son art de vivre à travers la pratique de la gravure et de la lithographie.
| EXPO DU 10 AU 19 MARS 2023 | La gravure ne connais pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu temporairement domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
« Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…
Buriniste le jour, musicien la nuit, voici les deux facettes de Jean Coulon. Dualité qui se réunissaient parfois dans ses gravures…
Né à Bruxelles en 1947, Jean Coulon nous a quitté le 07 octobre 2020.
Diplômé de l’option de gravure à la Cambre, Bruxelles, Jean était aussi comédien et musicien (tuba), initié au jazz il a parcouru le monde avec des troupes de théâtre entre 1980 et 2004.
Jean a été membre de l’atelier Kasba entre 2000 et 2020.
Instruments de musique qui se retrouvent aussi dans la gravure à quatre mains faite avec Jean-Pierre Lipit
| EXPO DU 10 AU 19 MARS 2023 | La gravure ne connais pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu temporairement domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
« Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…
« Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…
Donc nous décidons:
1/ de tirer au sort pour savoir qui commence. Je serai le premier, à charge pour lui de terminer le travail.
2/ que chacun marchera sur les chemins chers à l’autre. Il s’occupera donc des personnages éventuels, de la foule peut-être et moi des instruments de musique.
J’imagine alors une espèce de forêt d’instruments à vent qui se terminent à leur extrémité en branches pour en faire des arbres en lui laissant, aux pieds de ceux-ci l’espace nécessaire pour y étaler ses fantasmes.
Une fois de plus facétieux, son tour venu, il s’empresse de retourner la plaque et donc les branches deviennent des racines et les personnages s’échappent dans les cieux.
Cette gravure est mise en vente au profit de l’atelier et sera visible lors de l’exposition « Machine à rêver, hommage à Jean Coulon » du 07 au 15 mai 2022
| EXPO DU 10 AU 19 MARS 2023 | La gravure ne connais pas les frontières, et l’atelier KASBA sert aussi parfois de refuge bruxellois pour des artistes étrangers. C’est le cas d’Estelle Lacombe, artiste française qui a souvent élu temporairement domicile dans notre atelier, nouant une amitié et une complicité artistique avec Jean-Pierre Lipit.
L’atelier, c’est un endroit de travail, on se met à sa table, on grave, on imprime. Mais un Atelier collectif, comme KASBA, c’est aussi un lieu de rencontres, où souvent naissent des amitiés, qui parfois se transforment en collaboration. C’est le cas pour un souffle une lame, édition née de la rencontre à l’atelier de Chris Delville et Gilles Hébette.
« Un jour nous avons de concert imaginé la réalisation d’une gravure à deux mains. Comment procéder? Quelles limites se fixer? Comme tout jeu qui se respecte, celui-ci nécessite des règles…