Méfiez- vous des aubergistes, résistez à la tentation ! Voilà ce à quoi on vous met en garde dans cette légende datant de 1090 née sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle.
Basée sur la version de Santo Domingo de la Calzava ramenée dans ses valises par un Jean-Pierre Lipit baroudeur et habilement revisitée par Anne Versailles, cette édition KASBA reprend les gravures de:
Et nous sommes heureux de vous la faire découvrir, ainsi que d’autres gravures des artistes participants, lors de cette exposition qui se tiendra du 04 au 19 septembre aux Écuries de la Maison Haute à Watermael-Boitsfort.
Écuries de la Maison Haute place Antoine Gilson 3 1170 Watermael-Boitsfort
Vernissage:
vendredi 03 septembre, de 18h30 à 21h
Exposition visible du 04 au 19 septembre:
JE & VE: 17h > 20h ME & SA: 13h > 18h DI: 10h > 16h
Et enfin, n’hésitez pas à vous rendre sur notre page « éditions«
Inlassable lithographe, Ludmila Krasnova vous propose de découvrir quelques-unes de ses dernières estampes, virtuellement dans cet article, ou en vrai (avec beaucoup d’autres) lors d’une exposition à la Maison CFC.
Oubliez les vieux pulls de Noël de Mémé, ou les gadgets inutiles de l’oncle Alfred! Offrez plutôt à toute la famille et aux amis de belles œuvres imprimées !!!
Et ça tombe bien car au Marché de Noël Imprimé de l’atelier KASBA vous trouverez ce qu’il vous faut et encore plus à des prix féeriques !
L’atelier KASBA a le plaisir de vous faire découvrir sa dernière édition « Cahier d’anatomie » lors d’une exposition exceptionnelle! Pour l’occasion les plus grands spécialistes se sont penchés sur la question pour créer une édition richement illustrée de 9 planches originales!
« Carnations » est une série de pointes-sèches, présentée au Centre de la Gravure et de l’Image Imprimée de La Louvière en décembre dernier, et proposée au regard du visiteur bruxellois le week-end des 4 et 5 mai 2024 dans le cadre d’atelier in beeld, open studio days.
Voilà 50 ans que Jean-Pierre Lipit a commencé la gravure, et pour l’occasion il vous propose de venir découvrir 50 gravures (une par année) à KASBA – atelier de gravure et lithographie (son lieu de travail depuis 1997).
Comme chaque année, l’atelier KASBA vous propose son Kasbarché de Noël, Des gravures et Lithographies originales pour tous les budgets, le tout dans une ambiance conviviale
L’atelier KASBA a eu le plaisir d’être invité par la maison de l’imprimerie de Thuin pour proposer une exposition rétrospective de 25 années d’éditions KASBA.
L’occasion aussi pour nous d’enfin pouvoir vous faire découvrir notre édition 2020, le pendu dépendu.
(À noter, certains membres de l’atelier y seront présent le vendredi 13 août entre 14h et 17h, pour un moment de rencontre en toute convivialité)
Chaque année, depuis sa création, les membres de l’atelier, aidés d’artistes invités, mobilisent leurs talents autour de la création d’une édition (tournant autour de thème variés comme : Carré blanc ; Gaspard, Melchior et Balthazar ; Fantom ; Noir ; Sans gravité ; La marquise sortit à cinq heures ; Chaud-Froid ou encore Têtes).
Témoignage de la vie d’un atelier, mais aussi de la scène de la gravure belge (et parfois étrangère) de ce dernier quart de siècle, l’exposition à la maison de l’imprimerie de Thuin vous propose de découvrir une large sélection de gravures tirée des éditions KASBA, et vous permet aussi de découvrir, en primeur, la dernière édition intitulée « LE PENDU DÉPENDU » : Anne Versailles y revisite l’antédiluvienne légende d’un jeune homme injustement pendu sur le chemin de saint-Jacques de Compostelle. Aidés d’Anne Françoise Quoitin et Max Lapiower, les membres de KASBA vous font découvrir, dans cette édition, leurs visions singulières des neuf chapitres de ce court texte.
Jean-Pierre, Chris, Gilles et Nicolas se sont attelés, par une chaude journée de juin, à cette tâche difficile mais réjouissante. L’occasion peur eux aussi de redécouvrir la richesse que chaque édition renferme.
Deuxième étape: l’ouverture au public et la visite de l’exposition
Et il y avait du monde pour cette première journées d’exposition.
édition pendu dépendu
édition pendu dépendu
Dernière étape: présentation à la presse
Et c’est Élisabeth qui s’est transformée, pour l’occasion, en attachée presse d’un jour 😉
Petit bonus
Cette exposition est l’occasion de découvrir nos éditions, mais aussi la maison de l’imprimerie et sa belle collection de machines anciennes, ainsi que la petite cité médiévale de Thuin. Juchée sur un éperon rocheux surplombant les vallées de la Sambre et de la Biesmell, elle es connue pour son beffroi mais surtout pour ses magnifiques jardins suspendus.
Inlassable lithographe, Ludmila Krasnova vous propose de découvrir quelques-unes de ses dernières estampes, virtuellement dans cet article, ou en vrai (avec beaucoup d’autres) lors d’une exposition à la Maison CFC.
Oubliez les vieux pulls de Noël de Mémé, ou les gadgets inutiles de l’oncle Alfred! Offrez plutôt à toute la famille et aux amis de belles œuvres imprimées !!!
Et ça tombe bien car au Marché de Noël Imprimé de l’atelier KASBA vous trouverez ce qu’il vous faut et encore plus à des prix féeriques !
L’atelier KASBA a le plaisir de vous faire découvrir sa dernière édition « Cahier d’anatomie » lors d’une exposition exceptionnelle! Pour l’occasion les plus grands spécialistes se sont penchés sur la question pour créer une édition richement illustrée de 9 planches originales!
« Carnations » est une série de pointes-sèches, présentée au Centre de la Gravure et de l’Image Imprimée de La Louvière en décembre dernier, et proposée au regard du visiteur bruxellois le week-end des 4 et 5 mai 2024 dans le cadre d’atelier in beeld, open studio days.
Voilà 50 ans que Jean-Pierre Lipit a commencé la gravure, et pour l’occasion il vous propose de venir découvrir 50 gravures (une par année) à KASBA – atelier de gravure et lithographie (son lieu de travail depuis 1997).
Comme chaque année, l’atelier KASBA vous propose son Kasbarché de Noël, Des gravures et Lithographies originales pour tous les budgets, le tout dans une ambiance conviviale
La « glucidomanie » a contaminé différents membres de l’atelier qui se sont mis activement au sucre! Mais n’ayez crainte pour leur santé, caries et diabète sont bien loin car quand on dit « sucre » dans un atelier de gravure ce n’est pas au moment de prendre son café, mais bien à celui de graver sa plaque…
Tout d’abord (et en schématisant), on dessine sur une plaque au pinceau ou à la plume avec un sirop composé généralement d’eau, de sucre et d’encre de Chine.
Ensuite on couvre la plaque dessinée avec du vernis. Une fois le vernis sec, on plonge enfin la plaque dans de l’eau chaude où le sucre se dissout emportant avec lui le vernis qui le recouvrait.
Les endroits que l’on avait dessinés sont alors à nu, le reste de la plaque étant toujours recouverte par le vernis.
On peut, pour terminer, mordre dans l’acide, avec ou sans aquatinte.
Les pérégrinations lithographiques de Nicolas l’ont mené à tenter la quadrichromie (impression en quatre couleurs)… Et pour ce faire, quoi de mieux comme sujet que son jardin!
Le samedi 5 mai 2018, dans le cadre de leur exposition commune, Philippe Tardy et notre regretté ami Jean Coulon faisaient, devant un public conquis, une démonstration d’impression de leurs gravures (Ces démonstrations se faisaient dans le cadre de Drukdrukdruk).
Après nous être intéressé longuement au repérage en lithographie dans notre article « de fil en aiguille : le repérage à l’aiguille », voici la suite où nous nous intéressons (vidéo à l’appui) à la technique de la lithographie couleur « façon Lipit ». En lithographie traditionnelle, on utilise une pierre par couleur mais il est possible de procéder autrement. … Lire la suite
En lithographie comme ailleurs, toutes les impressions couleurs demandent un repérage précis. À l’atelier KASBA, nous pratiquons le repérage à l’aiguille. Il a l’avantage notamment de pouvoir utiliser des papiers plus grands que la pierre.
En gravure, l’impression en plusieurs couleurs nécessite logiquement une matrice par couleur. La technique du bois perdu n’a besoin que d’une seule matrice, mais ne nous laissons pas abuser par cette dénomination trompeuse car, comme nous le verrons, le bois n’est pas perdu pour tout le monde.
La « glucidomanie » a contaminé différents membres de l’atelier qui se sont mis activement au sucre! Mais n’ayez crainte pour leur santé, caries et diabète sont bien loin car quand on dit « sucre » dans un atelier de gravure ce n’est pas au moment de prendre son café, mais bien à celui de graver sa plaque…